Djamilla parle de la magie des discussions sur les placements #RéflexionsSurLesPlacements
Rédigé par l’équipe Investisseur inspiré | Publié le 22 septembre 2021
Rédigé par l’équipe Investisseur inspiré | Publié le 22 septembre 2021
Pendant la pandémie, Djamilla1, 24 ans, s’est retrouvée à dépenser de l’argent en ligne pour apaiser ses angoisses. Elle a rapidement compris que ce comportement avait une incidence sur son épargne. La fondatrice d’un média et mannequin basée à Montréal, se souvient alors de s’être fait la réflexion suivante : « Je ne peux vraiment pas continuer à agir ainsi, compte tenu de mes aspirations et de tout ce que je veux accomplir. J’ai commencé à apprendre à établir un budget, à épargner et à investir. »
Depuis, le parcours d’investisseuse de cette jeune femme originaire de la Côte d’Ivoire l’a portée à remettre en question certaines idées préconçues acquises dans son enfance. « Mon éducation financière se limitait à ceci : il faut épargner parce qu’on ne sait jamais ce que réserve l’avenir. Je n’ai pas grandi en ayant la conviction que mon argent pouvait faire de l’argent. »
Djamilla adore aussi s’attaquer aux tabous qu’elle constate au sujet des femmes qui parlent d’argent et prennent des risques. Maintenant qu’elle investit avec plus d’assurance, Djamilla souligne à quel point il est magique de parler ouvertement d’argent et de placements, d’apprendre de ses erreurs et de tirer parti de sa créativité en tant qu’investisseuse.
Pourquoi tous ses objectifs sont-ils à long terme?
Djamilla a recours à une stratégie pour rester motivée : adopter une vision à long terme de ses objectifs, même ceux à court et à moyen terme. « J’investis pour préparer mon avenir - une maison, une voiture et une maîtrise - parce que tout ça n’est pas gratuit! » affirme-t-elle en riant. Elle ajoute qu’elle est aussi en train de constituer un compte de retraite. « Mais si je devais décrire le véritable but de mes placements, je dirais que je cherche vraiment à créer une richesse générationnelle, et à montrer ma reconnaissance à ma famille et à ma communauté. Je ne veux pas que les générations futures de ma famille manquent d’argent. »
Parler d’argent
Djamilla dit avoir remarqué que plus de gens abordent ouvertement les questions financières depuis le début de la pandémie, ce qui est bien selon elle. Son propre moment décisif est survenu quand elle a rencontré une autre femme d’origine africaine qui l’a aidée à franchir les premières étapes du placement. « Pouvoir parler librement d’argent à une autre femme et commencer à apprendre des choses que je ne savais pas... J’ai eu l’impression qu’elle était une figure maternelle pour moi », constate Djamilla. « Je trouve que quand je peux établir un lien avec quelqu’un, je peux mieux saisir l’information. En fin de compte, un bon enseignant est quelqu’un qui parle franchement des erreurs qu’il a faites, des leçons qu’il a apprises et du succès qu’il a obtenu. »
À propos des erreurs
« L’avantage de commencer à investir tôt est que vous avez plus de temps pour vous enrichir », affirme Djamilla. « Mais je sais aussi que j’ai aussi plus de temps et d’espace pour faire des erreurs ». Forte de cette mentalité, elle soutient qu’elle considère les erreurs comme une partie importante de son processus d’apprentissage.
Parmi les leçons apprises, Djamilla se souvient d’avoir compromis la réalisation de ses objectifs à long terme pour satisfaire une envie de voyager. « J’ai vu tout cet argent dans mon compte de placement et je me suis dit : « Oh, ça pourrait servir à acheter un billet d’avion ». Elle est toujours en train de rattraper son retard à cause de l’argent qu’elle a dépensé, dit-elle. Elle ajoute cependant ceci : « C’est là que l’importance de commencer tôt apparaît. Il y a toujours moyen d’aller de l’avant après avoir commis des erreurs si vous prenez du recul, planifiez et réorientez vos efforts ».
La diversification peut être... emballante?
Selon Djamilla, sa créativité est l’une des raisons pour lesquelles elle maintient de nombreux types de compte et d’avoirs. Cette diversité l’empêche non seulement de prendre trop de risques, mais aussi « de s’ennuyer en ne détenant qu’un type de portefeuille ».
Devenir une investisseuse confiante
« Quand j’ai commencé, mon degré de confiance était un bon quatre sur dix », avoue Djamilla. « Maintenant, je dirais un bon sept ». Parmi les facteurs qui l’ont aidée à rehausser son savoir-faire en matière de placement, elle mentionne le fait de comprendre la subjectivité du risque. « L’investissement est un chemin personnel », dit-elle. « Je crois fermement que plus vous êtes renseigné, plus vous pouvez prendre de bonnes décisions. Quand je n’ai pas assez d’information, c’est à ce moment-là que le risque est plus grand ».
Investir à l’échelle mondiale
Quelle est la prochaine étape pour Djamilla? « Je veux vraiment en savoir plus sur l’investissement dans les entreprises liées à l’environnement », déclare-t-elle, mais sa curiosité est sans frontière. « Je veux aussi mieux connaître les occasions de placement à l’étranger parce qu’en ce moment, je me concentre sur le pays dans lequel je vis, le Canada. Je veux vraiment montrer ma reconnaissance à mon pays d’origine et à ma communauté ».
1 Djamilla est cliente de RBC Placements en Direct. Elle a été rémunérée pour son témoignage.
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